• Sécurité

    Sécurité routière, délinquance, mes impressions.

    Jamais encore, ni à Bangkok ni ailleurs en Thaïlande, je ne me suis senti en insécurité, même dans les ruelles les plus sombres en pleine nuit. D'ailleurs, les Thaïs ne semblent eux-mêmes pas très inquiets : les femmes ne se retournent pas sans arrêt quand elles savent qu'un homme est derrière elles, tous portent leur sac à dos sur... le dos, contrairement aux touristes, etc.

     

    On ne voit la police à peu près nulle part, si ce n'est à la circulation et auprès des monuments royaux tels que le "Grand Palace" de Bangkok. À vrai dire, j'ai entendu pour la première fois aujourd'hui une sirène de police, pendant deux ou trois secondes, c'est tout.

     

    Finalement, le seul vrai danger apparent, c'est la circulation elle-même. Traverser la rue en Thaïlande est presque aussi dangereux que jouer à la roulette russe. Le trafic est dense, la vitesse élevée, les dépassements en ville monnaie courante, le respect des feux rouges quasi inexistant. Il est clair que le piéton n'est jamais prioritaire ici, même sur les passages idoines. Seule exception à cette règle, un feu sur Manee Nopparat Road, à Chiang Mai, qui possède un bouton d'appel offrant quelques secondes de "bonhomme vert", et qui est respecté par les automobilistes et par la plupart des autres usagers de la route.

     

    Côté transports toujours, notons l'absence de casque chez la plupart des pilotes de deux roues (qui sont en débardeur, short et tongs bien sûr !) et l'absence de ceintures dans les taxis, les minivans ouverts et les tuk-tuks. Jusqu'à présent, je n'en ai vu que dans un minibus, de Bangkok à Ayutthaya.

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